Je rêve d'être l'urinoir d'un homme



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Posted by Gaby on July 08, 1998 at 14:47

Je rêve d'être l'urinoir d'un homme

Je suis nue sous mon jean qui me colle à la peau, moulant jusqu'à ma vulve de la manière la plus indécente ! Assise sur ma chaise de bureau, j'écarte les jambes et me caresse l'entre cuisse du bout de l'ongle... jusqu'à ce que, très excitée, je commence à pisser. La tache d'urine s'étend vite, j'ai les fesses trempées, je me vide avec délice, et le liquide chaud coule à présent sur la moquette...
Ces pipi dans la culotte, auquel une revue uro-scato (découverte par hasard dans la poubelle d'un square à Hambourg) m'avait incitée alors que j'avais treize ans, et que la fin de mon adolescence m'avait fait abandonner pour d'autre jeux, me sont redevenus une pratique courante depuis quelque six mois grâce à la découverte, à nouveau, d'une revue traitant largement de ce sujet encore plus rare en France qu'en Allemagne: lettre secrètes. Mais permettez-moi de me présenter: je m'appelle Gaby, suis d'origine allemande, j'ai des cheveux châtain clair, des formes épanouies. 32 ans, et, divorcée depuis un an, je vis seule, avec une confortable pension qui me dispense de travailler. Plutôt intellectuelle, je mets à profit cette oisiveté pour me consacrer à divers passe-temps solitaires tels que la lecture, la masturbation, la boisson... et, depuis peu, à ce qui est devenu une véritable passion d'une incroyable perversité: me vider vessie et intestins dans le pantalon. Tout a commencé l'été dernier: j'Étais vêtue d'un jean dont le tissu délavé me collait à la peau, et d'un tee-shirt dans le même style (avec strictement rien en dessous de tout ça !), tenue qui me valait les regards de pas mal de mâles... J'en finissais d'un voyage que j'avais passé dans le wagon-bar du train, accoudée au comptoir, à siroter bière sur bière, dans un ennui que rien ne vint interrompre, pas même une main frôleuse s'attardant à flatter les formes généreuses du bas de mon dos. Arrivé 'a ma gare de destination, passablement éméchée, je m'apprêtais à me rendre aux toilettes avec de sérieuses envie, lorsque, passant devant un kiosque à journaux, mon regard fut attiré par un titre scatologique sur la couverture d'un numéro de votre mensuel. Un trouble aussi soudain que violent s'empara de moi... c'était comme si j'avais reçu un coup de poing dans le ventre (mais en beaucoup plus agréable !)... j'achetais votre revue... et m'empressai d'aller la lire dans les toilettes. Debout dans les toilette, je dévorai la confession d'une jeune pisseuse et cacateuse, le coeur battant, les joue empourprées, la main sur le sexe... lorsque le désir me pris, totalement incontrôlé, d'en faire autant, de me souiller. Pendant les quelque secondes qui suivirent, ce fut un conflit gigantesque entre ce désir malade et la crainte de me faire remarquer à la sortie des toilettes...puis, comme possédée par les démons les plus pervers de mon moi secret, je fis tous mes besoins dans mon blues-jean ! (et comme je vous l'ai dit: j'étais nue en-dessous !)...L'urine ruisselait entre mes cuisses et se déversait par terre avec un bruit de gouttière, pendant qu'un énorme étron remplissait le fond de mon jean avant de descendre le long d'une cuisse... je ne savais plus ce que je faisais, j'étais proprement en transe... un gémissement rauque monta de ma gorge... puis adossée au mur, je commençais à me masturber comme une folle en palpant mon caca à travers le tissu du jean inondé... je n'en finissais plus de jouir, jamais je n'avais joui comme ça !... J'en étais malade. Une fois calmée, bien que n'en revenant pas encore de ce qui m'arrivait, je sortis un imper de ma valise et m'en revêtis pour cacher les dégâts à la vue des passants... Un petit détail encore à régler: mouiller tout le bas de jean dépassant de l'imper pour qu'on ne remarque pas la différence !... CE que je fis aux lavabos, heureusement déserts . Une fois dans la rue, loin de se dissiper, le trouble pervers qui m'avait envahie depuis le début de cette expérience, s'accentua, du fait que le port d'un imper par une aussi belle journée attirait sur moi bien des regards... S'ils avais vu ce qu'il y avait en dessous . Je décidai alors de laisser mon bagage à la consigne; et toute trempée et merdeuse, je prolongeai cette promenade, ouvrant mon imper, chaque fois qu'il n'y avait personne en face de moi...et jouissant ainsi de la crainte d'être surprise ,Il commençait à se faire tard et les rue se vidaient... Dans une petite rue déserte, je posai mon imper sur le capot d'un voiture et me regardai dans la glace d'une devanture de magasin...L'urine avait commencé à sécher et l'auréole était à peine visible...mais avec tout la bière que j'avais ingurgitée, il ne me fut pas difficile de renouveler l'expérience...Cette fois-ci, c'est sans aucune retenue que je me vidai la vessie dans mon pantalon... L'urine gicla avec force, inonda immédiatement tout l'intérieur des cuisses du jean jusqu'aux pieds, avant de faire une rigole sur le trottoir...je trempai, avec délice les mains dans cette urine qui coulait entre mes cuisses, portant un doigt à ma bouche, me caressant le sexe à travers le tissu plus que jamais collé à la peau... Puis je me retournai pour voir mon cul dans la glace... La merde avait été diluée et tachait de bru l'entre-fesses et tout l'arrière d'une cuisse... Par contre, le paquet se voyait à peine. La rue restait déserte... Je pris mon imper sur le bras, et marchai ainsi jusqu'à un porche à l'abri duquel j'entrepris de pétrir un peu plus mon caca dans mon jean pour bien l'étaler. Je défaillais de jouissance . Soudain, j'entendis des voix. On venait ! j'enfilai mon imper en vitesse, et sans l'avoir boutonné, je me mis à suivre le couple qui passait. Des gouttes d'urine coulaient encore sur le trottoir à chaque q'un de mes pas. J'étais vraiment inondée ! Et j'en avais plein les fesses ! Le type se retourna et me vit fermer rapidement mon imper ! Il semblait étonné. J'avais envie de me caresser le sexe en marchant derrière lui. Mais je n'ai pas osé. Il devenait urgent que je me masturbe ! le couple entra dans un immeuble je le suivis, mais préférai ne pas l'accompagner jusque dans l'ascenseur 'a cause de l'odeur ! j'empruntai donc l'escalier de secours, parfaitement désert, où, entre deux étage, je quittai imper et tee-shirt, puis baissai mon jean jusqu'à mi-cuisses et commençais une profonde masturbation. Ma nudité et ma saleté, dans cet endroit où des bribes de phrases, des bruit de pas ou de porte que l'on claque me parvenaient, et où à chaque instant, quelqu''un pouvait surgir et me découvrir, m'excitaient au plus haut point. Je ne sais quoi de refoulé en moi depuis toujours me saisit alors avec une frénésie réellement démente; d'une main je me branlai, de l'autre j'étalai la merde sur mes fesses, puis sur mes seins ensuite, je mis mon tee-shirt entre mes cuisse et pissai dedans puis le portais à ma bouche pour le sucer, avant de l'enfiler à nouveau, ou il colla à ma poitrine souillé. Enfin, totalement hors de moi, je badigeonnai mes vêtement de caca, et m'écroulai sur les marches de l'escalier dans un prodigieux orgasme. Après cela, je rentrai chez moi, toute tremblante dans mon imper les jambes en coton et, très curieusement, je me sentais comme nettoyé à l'intérieur, vidée et nettoyée. Pour un coup d'essai, en matière de scatologie, ce fut un coup de maître, dont il faut certainement attribuer une part non négligeable au mérite de l'alcool, mais aussi à votre excellente revue que, depuis, j'achète régulièrement, et dans laquelle j'ai lu bien sûr la technique du pipi culotte signé par Martine qui reste un modèle du genre. Cependant, je préfère, pour ma part, faire mes besoin dans un jean que dans une culotte, tout d'abord parce que j'adore être en jean moulant et que contrairement à l'opinion de certain hommes restés égoïstement attaché au très confortable porte-jarretelles, je trouve le jean sexy, et ensuite parce que, si l'on aime s'inonder, on appréciera bien plus de l'être complètement jusqu'aux pieds que juste deux centimètre carrés entre les cuisses. Et dans la rue, croyez-moi qu'avec un imperméable ou un manteau suffisamment long, personne ne verra jamais rien. Depuis cette première inoubliable expérience, je me suis constitué tout une garde-robe de jean que je salis à longueur de journées de toute sortes de manières: Le jean en fibre élastique, extrêmement moulant, est idéal pour faire un gros caca consistant qui va rester, en un gros paquet chaud, entre les fesses. C'est une jouissance sans nom de se promener comme ça dans la rue. Le jean en tissu plus épais est idéal pour pisser; l'humidité étant conservée plus longtemps. Le très vieux jean complètement râpé et délavé m'excite énormément quand je lâche tout ensemble, puis le badigeonne d'excréments. Un jean un peu moins moulant conviendra au caca qu'on veut faire dans une culotte, afin de bien garder le caca dans la culotte, sans trop l'étaler. Et inversement, si l'on a envie qu'un caca assez mou se répande au maximum, mieux vaut porter un jean taille haute, au tissu épais, et extrêmement serré. Comme l'odeur de l'urine m'affole terriblement, j'aime faire pipi plusieurs fois de suite dans le même jean, que je laisse sécher, pour le réutiliser plus tard. Quel plaisir d'enfiler un jean exhalant l'odeur de la pisse; d'entraîner ces effluves avec soi dans une promenade; de respirer dans son entrecuisse; ou de poser ses lèvres sur son tissu trempé. Habituellement, chez moi, lorsqu'une soudaine envi de faire pipi ou caca me prend, alors que je suis en train de faire le ménage, de regarder la TV ou de lire, que je soit debout, assise ou étendue, je me laisse complètement aller, et je fais sous moi. Puis je garde mon jean souillé le plus longtemps possible en continuant de vaquer à mes occupations. Une fois (et ce fut de loin, l'expérience la plus incroyablement osée que j'ai pu tenter), je n'ai pas quitté mon jean pendant deux jours. (J'avais cousu la fermeture pour ne plus pouvoir l'ouvrir). Je pissais et re-pissais dedans. L'urine séchait, et je recommençais, même au lit, où je me masturbais à travers le tissu. Au bout de deux jour, je sentais l'urine comme une pissotière, et mon jean était plus raide qu'une carapace. Je sorti ainsi faire des courses et comme je n'avais pas fait caca durant ces deux jours, je fut prise d'une énorme envie (tout à fait imprévue) qui me tordait les entrailles. Le démon de la persivité me chuchota alors une idée absolument folle qui me fit battre le coeur à l'avance: entrer dans un cinéma pratiquement désert, et m'y laisser aller sans gêne. Je me sui donc installée tout au fond, dans un coin sombre, et je me suis mise à chier dans mon jean comme jamais je n'avais chié. La merde a commencé à sortir dure, à tel point que je dûs me lever pour qu'elle puisse sortir; un petit jet d'urine fusa, puis je m'assis et écartai les jambes. Je ne pouvais plus me retenir. D'un seul coup, une énorme quantité de merde chaude envahit mon jean, se frayant, un chemin tous azimut, j'en avais plein sur le sexe, et, en remuant un peu ça remontait presque sur le ventre, et ca descendait le long des cuisses jusqu'aux genoux. J'étais bien et je commençai à me caresser en pétrissant toute cette matière gluante. Mais cela ne me suffisait pas j'éprouvais le désir de risquer d'être vue. Je laissai alors mon imper sur le siège, me levais et partis en direction des toilettes. En me levant, la merde coula jusque dans mes bottes, je n'avais jamais été aussi sale, et cela me fit frissonner je me mis à uriner en marchant, lâchant encore un surplus de caca pratiquement liquide. Le souffle cour, de petits gémissement presque orgasmiques s'élevant irrépressiblement de ma poitrine, et la main sur le sexe, je décidai d'entrer dans les toilettes des hommes puis je m'assis dans un urinoir pour bien me mouiller les fesse et diluer encore un peu le caca. Bien sûr, il n'y avait pas un chat, mais il n'était pas absolument impossible que qu'un survint. J'aurais aimé pouvoir prendre du caca dans les mains et m'en mettre partout, Mais le haut de la braguette du jean était solidement cousu, et je ne pouvais l'ouvrir j'eus alors lidée de le déchirer. La couture à l'entrecuisse était légèrement décousue, j'en profitai pour le découdre complètement et plonger ma main dans les excréments que contenait mon jean. Je m'en mis plein sur les fesses, sur le ventre et les sein et après m'être lavé les mains, je repartis m'asseoir à ma place, le coeur battant la chamade. Aussi surprenant que cela paraisse, personne ne m'a jamais surprise en trait de me souiller il faut dire que je ne m'expose jamais inconsidérément et que de toute manière, il ne s'est jamais agit, pour moi d'être vue. Mais bien seulement de trembler de l'être. Chaque jour que Dieu fait, j'invente de nouvelles pratiques. Que n'ai-je pas fait, j`ai chié dans mon soutien-gorge avant de le mettre, la merde coulait dans ma chemise et saccumulait au-dessus de la ceinture où je l`écrasais. J`ai chié dans la poche de mon imper, et tout en marchant innocemment dans la rue, j'en prenais un peu du bout des doigts pour l`étaler sur mon sexe, mon ventre ou mes fesse. J`ai pissé dans mon jean assis sur des banc public ou debout dans la rue. J'aime particulièrement faire sous moi dans le métro très tard le soir quand il n`y a presque plus personne et que je peux alors, dans un wagon désert, me livrer à des obscénités comme de descendre mon pantalon et me masturber debout devant la porte, jusqu`à ce qu`arrive la prochaine station où je le remonte précédemment tout en me mettant à pisser comme une vache (j`adore me mettre à uriner tout en enfilant ou quittant mon jean). Une dois, dans un square désert, avisant une belle flaque de boue, j'ai baissé mon jean, fait caca dans la boue, remonté mon jean puis je me suis assise dedans en remuant bien les fesse et en pissant.

Il m`arrive aussi de sévir de nuit non loin de mon domicile, et je pousse alors l`audace jusqu`à négliger l`usage de l`imper et traverse les parkings ou hante les ascenseurs dans un état à faire frémir d`horreur un bataillon de légionnaire. Il m`arrive même de me dire, dans ces moment-là que mon apparence a de quoi décourager et faire fuir tout violeur éventuellement embusqué alentour.
Mais c'est tellement excitant de se regarder pisser, dans la glace d'un ascenseur qui monte à un étage où, peut-être, on se trouvera face à face avec des gens ! (vers minuit, c'est peu probable mais pas impossible). Bien sûr, tous ces jeux sont parfaitement solitaire, et il m'arrive parfois de fantasmer l'inconnu arrêté dans la rue, à qui je demanderais de me pisser dessus. Je rêve d'être l'urinoir d'un homme; qu'il pisse sur la braguette de mon jean, sur mesa fesse, ou sur mon tee-shirt; qu'il m'étende sur le capot d'une voiture et m'inonde complètement, en commençant par mon sexe s'offrant avidement au flot d'urine; ou qu'il me jette à terre et me fasse dessus.. Mais je n'aimerais pas tomber sur un tel partenaire autrement que par hasard.


Gaby 32 ans



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