Avec les copines


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Posted by Flo (French one) on October 29, 2000 at 14:50

Avec les copines
De retour après mon séjour en Angleterre ou j’avais découvert les joies du pipi culotte, je repris les cours à la Faculté. Pendant les deux premiers mois, je continuais seule, le soir, dans mon petit studio de la vieille ville, à approfondir ma technique du pipi culotte. Assise, debout, couchée, j’essayais en jeans avec ou sans culotte, en jupe avec une culotte sans collants ou sans culottes avec collants et plein d’autres combinaisons. A chaque essai, je prenais un plus grand plaisir à sentir le chaud liquide couler le long de mes cuisses, remonter le long de la raie de mes fesses. Finalement, la combinaison que j’adoptais le plus fréquemment, était culotte de maillot de bain en lycra (le liquide reste plus longtemps dedans) jeans très moulant, blanc ou de couleur claire (voir la tâche s’agrandir progressivement participe aussi pour moi au plaisir) pas de chaussettes. En haut une chemise à même la peau pour le cas échéant, pouvoir facilement accéder à mes mamelons. Souvent en effet je finissais la séance en me caressant sur mes fringues mouillées, arrivant à prendre ainsi très rapidement mon pied.
Un jour enfin ayant éclusée les plaisirs de la découverte, je me mis dans l’idée de faire partager mon plaisir à mes deux meilleures copines Martine et Mei.
Pendant plusieurs jours, je réfléchis à la meilleure façon d’aborder le sujet avec elles. Le problème n’était pas simple en effet. Mes deux copines avaient des personnalités différentes.
Mei, d’origine chinoise, était une fille petite mais bien proportionnée, avec une poitrine menue mais néanmoins présente, la taille fine, de très jolies fesses qu’elle mettait souvent en valeur avec des pantalons en lycra ou en soie de couleur vive, le visage ovale encadré par des longs cheveux noir, luisant et raide. Ses yeux en amandes, rehaussées par des pommettes hautes étaient brillants et expressifs. Elle était spontanée mais pas de nature exhibitionniste.
Martine, elle, plus lourde, était une splendide fille au cheveu bouclé mi-long, les yeux verts, le visage très expressif, la poitrine ferme et arrogante, les fesses toujours moulées par des pantalons bien serrés que l’on aurait dît peint sur elle. Elle était exubérante et très rieuse.
Après avoir bien réfléchit, je mis au point un piège diabolique qui avait de fortes chances d’aboutir.
Un vendredi soir, j’invitais Martine et Mei à venir passer la soirée et la nuit chez moi.
Elles arrivèrent à dix minutes d’intervalles. Martine en premier, sonnât sur le coup des 20 heures. Je lui ouvris la porte. Elle était habillée d’un chemisier blanc, ample et d’un de ses fameux pantalons moulants dans un tissu satiné de couleur ocre claire.
Dix minutes après, Mei sonnât à son tour. Elle était habillée d’une chemise bleue et d’un pantalon en lycra violet, qui quant je la vie de dos, lui rentré dans la raie des fesses.
Après un l’apéritif, nous sommes passées à table. J’avais préparée un bon repas, bien arrosé.
Je servis le dessert, et sous prétexte de préparer un bon café, je m’éclipsais vers la salle de bain WC ou je mis en œuvre rapidement mon plan. Je revins très vite dans la cuisine et je fis le café.
Je revins dans la pièce principale nous le bûmes puis elles m’aidèrent à débarrasser.
Une fois tout en ordre, nous sommes revenues dans la pièce principale et après nous être installées confortablement autour d’un digestif sur un fond de musique douce, nous avons continuées à papoter comme font toutes les filles entre elles.
Vers minuit, je sentis que ma vessie me demandée d’agir. Si j’avais bien calculée, Martine ou Mei n’allaient pas tardées à avoir le même souci. Depuis qu’elles étaient là, ni l’une ni l’autre n’étaient allées aux toilettes. Tout en continuant à papoter, je les surveillais du coin de l’œil pour guetter les signes avant coureur.
Soudain je vis Mei commençais à se tortiller et à reporter le poids de son corps d’une fesse sur l’autre.
Voilà me dis-je le moment est arrivé ! Pourvus que sa marche !
Quelques minutes plus tard, Mei se levât en disant
Les filles il faut que j’aille me soulager !
Elle partît vers les toilettes. Je retint mon souffle tout en continuant de discuter avec Martine.
Je répondais à l’une de ses questions, quant Mei revint.
Elle s’adossât nonchalamment sur l’encadrement de la porte et nous dit en jonglant avec la poignée de la porte de la salle de bain que j’avais soigneusement sabotée précédemment.
Je crois que l’on à un problème les filles.
Avec un petit air innocent je lui dis
Ah oui ! Quel problème ?
Bien voilà Flo, la poignée de la porte de la salle de bain m’est restée dans la main. On ne peut plus ouvrir la porte et donc il n’y a plus moyen d’atteindre les WC.
Je me retins de rire et de pousser un cri de triomphe.
Non ! Ce n'est pas possible dis-je ; d’un air catastrophé. Donne-moi la poignée je vais voir si je peux réparer.
Je me levais et partis à mon tour vers la salle de bain. Je fis semblant pendant quelques minutes de réparer la poignée. Puis, je revins vers le salon en me disant que le tournant de mon plan était là
Aie ! Pas moyen d’ouvrir cette foutue porte et moi aussi j’ai très envie de faire pipi ! Dis-je d’un air désespéré en appuyant ma main sur mon sexe et en commencent la danse du " Il faut que je fasse pipi et vite " Comment faire les filles ?
Il y eut un long silence. Elles me regardaient dansée sur place puis Mei toujours pratique dit
Le sol est en carrelage, tu n'as qu'à faire pipi ici par terre puis tu essuieras.
Je faillis bondir de joie. Elle était tombée dans mon piège. D'un air hypocrite je dis.
Quoi! Là, par terre, mais je ne pourrais jamais!
Ecoute dit Martine Mei à raison moi aussi j'ai envie et je ne peux pas attendre jusqu'à demain.
Bon! Dis-je après un instant d'hésitation, s'il n'y à pas moyen autrement. Je vins au milieu de la pièce. Je mis mes mains en position comme si j'allais défaire les boutons de mon jeans blanc puis, je m'immobilisais et jouant ma dernière carte je dis.
Hé, mais vous ne restez pas là à me regarder faire par terre quant même!
Elles se regardèrent rapidement puis Mei en venant rapidement vers moi me dit d'une voie autoritaire.
Ecoute! Si nous sommes dans les ennuis c'est à cause de tes foutus WC alors non seulement je reste mais en plus toi tu vas faire dans ta culotte.
Je restais interloquée. Incroyable me dis-je encore mieux que je ne l'avais prévue.
Elle s'assit sur le siège en face de moi à moins de 20 centimètres de distance.
Mais dis-je, je ne peux pas faire ça!
Martine en rigolant se levât et prenant son siège vint s'asseoir à côté de Mei.
Elle à raison après tout! Discute plus et vas-y direct dans tes fringues, comme un bébé!
Les jambes légèrement écartées, je fermais à moitié les yeux pour mieux savourer ce moment. Puis, je me laissais aller dans mes vêtements par petits jets successifs essayant de ne pas perdre le contrôle savourant chaque seconde.
La chaleur envahit tout d'abord mon entre-cuisses. Lentement elle descendit.
Martine d'une voie amusée dit en montrant la tâche qui fit soudain son apparition entre mes cuisses.
Elle fait dans sa culotte, elle fait dans sa culotte.
Je ne pus retenir un petit gémissement de plaisir.
Alors! C'est bon ma petite cochonne? me dit Mei
Arrêtant un instant de pisser, j'entrouvris les yeux et penchant la tête je regardais les premiers dégâts.
Une tache sombre et luisante ornée maintenant la toile autrefois blanche de mon jeans, partant de mon sexe et s'étalant de part et autre de l'intérieur de mes cuisses jusqu'au genoux.
Oui dis-je d'une voie mourante.
Je refermais les yeux et recommençais à faire.
La chaleur, maintenant m'entourais les cuisses descendait jusqu'au sol et remontais haut sur mes fesses. Je sentis une main se plaquer sur l'intérieur de ma cuisse gauche juste sous mon sexe. J'ouvris les yeux et vis que Mei me regardée avec attention.
Continue dit-elle
Je repris de plus belle et ne pus m'empêcher d'imprimer à mon bassin un léger mouvement d'avant en arrière de telle sorte que mon sexe vienne frotter à travers le tissu sa main. Surprise, Mei commença par retirer sa main puis la remis presque aussitôt en appuyant plus fort sur mon entre-jambe.
Ma parole dit-elle à Martine regarde cette petite salope est en train de se donner du plaisir avec ma main en plus.
Le flot ininterrompu de mon urine pendant au moins une minute, avait formé une mare à mes pieds.
Ayant finis de me vider et devant l'acceptation de Mei, j'accélérais les mouvements de mes hanches. Le frottement du tissu rêche gorgé d'urine comprimé par la main de Mei sur mon clitoris, me provoqué des petites décharges électrique le long de la colonne vertébrale. Rapidement je sentis venir du fond de mon ventre une onde de plaisir et poussant un bref cri je jouis brièvement dans la main de Mei.
Je dus prendre appuie sur ses épaules pour ne pas tomber. J'ouvris lentement mes yeux encore embués de larmes.
Martine et Mei me regardaient attentivement en souriant.
Ouah! Dis Martine excitante la garce.
Bon à moi maintenant dit Mei
Elle se levât et écartant un peu le siège de celui de Martine me dit.
Assoie toi à ma place. Je m'exécutais. Elle se mit à califourchon face à moi.
Hé! Dis-je que fais-tu?
Je vais faire pipi sur toi puisque tu à l'air d'aimer ça.
Elle avait à peine finie sa phrase, que je sentie une énorme chaleur envahir mon bas ventre et se répandre sur le dessus de mes cuisses. Elle me prit la tête dans les mains et me dit tout en continuant à pisser sur moi.
Tu m'as excitée tout à l'heure.
Elle plaquât sa bouche sur la mienne et m'embrassât goulûment. Je répondis a son baiser avec passion. Nos langues jouées entre elles. Nos dents s'entrechoquaient. Nos salives se mêlaient tandis que la douce chaleur de son urine coulait sur moi en cascade.

A suivre…..


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