Posted by L on June 18, 2002 at 15:29
"L'histoire de Julie"
Contrairement à beaucoup d’entre vous, je ne connais pas la passion de porter des couches et de se laisser aller dedans depuis bien longtemps. J’ai commencé par me laisser aller dans mes vêtements mais même ça, je ne l’ai commencé qu’à 14 ans. Avant, j’étais une fille parfaitement « clean ». Du reste, je le suis toujours… J’ai maintenant 19 ans.
Tout a commencé, je le disais quand j’avais 14 ans. J’étais alors, et je suis toujours, passionnée d’écriture et de lecture. Je lisais tous les romans qui me passaient entre les mains, policiers, amour, sentiments, science-fiction, fantastique, horreur, tout ! Je passais des heures entières couchée sur mon lit, au-dessus des couvertures, positionnée sur le côté à lire. Quand je n’étais pas dans mon lit, j’étais assise à mon bureau mais pas pour faire mes devoirs ; pour écrire ! Enfin bref, je ne faisais que ces deux choses-là. Enfin non, je m’intéressais aussi un peu aux fringues. Je ne suis pas spécialement extravagante mais j’aime être habillée.
Ce jour-là, j’étais justement habillée par une salopette en jeans bleu en-dessous de laquelle j’avais une blouse blanche et une petite culotte. J’étais couchée sur mon lit et je lisais un roman sentimental de mon auteur préféré. J’y étais depuis 16 heures, quand j’étais rentrée des cours, et il était presque 19 heures. Je n’avais fait d’autre que d’arriver, embrasser ma mère (mon père ne vit plus avec elle), déposer mon cartable, prendre le roman et lire. Je n’avais pas pris de quatre heures et je n’étais pas non plus allée aux toilettes.
Et je lisais depuis quasiment trois heures ce délicieux roman. Il faut dire que j’avais eu cours sans interruption depuis 13 heures jusqu'à 15h30 et que j’avais besoin de décompresser. Et comment décompresser, en lisant. Peut-être que ma mère imaginait une fois de plus que je faisais mes devoirs. J’en arrivais à un moment important du livre, celui où on va savoir. Il ne me restait que deux chapitres. Il fallait absolument que je le termine. Mais voilà, une envie commençait à me monter. Mes intestins qui n’avaient plus été vidés depuis la veille réclamaient que je m’occupe un peu d’eux.
Le dilemme s’opposa à moi. Je n’aimais pas lire assise sur les wc. Je n’ai jamais aimé faire deux choses en même temps. Je désirais me retenir encore un peu afin de terminer mon livre. Ensuite, telle une libération, je gagnerais les toilettes et me lâcherais. Ainsi j’entamai bientôt le dernier chapitre. Toutefois mes intestins me lançaient un dernier ultimatum que j’ignorais. Je continuais à poursuivre mon histoire. C’est alors qu’un bruit assourdissant de pet ainsi qu’une odeur épouvantable envahit ma chambre. Cette fois, j’avais vraiment mal au ventre. Plus questions de lire, il fallait que je me lève et que j’y aille. Mais j’avais si mal tout à coup. Je ne pouvais plus me lever. Et je devais lutter de plus en plus contre mes intestins qui poussaient dans le sens contraire de ce que je faisais.
J’entendis d’abord un nouveau bruit puis je sentis ma petite culotte se gonfler. Comme j’étais sur le côté, mon caca n’eut aucun mal à s’introduire dans ma culotte. Au début, je fus stupéfaite, je ne savais pas comment réagir. La honte mélangée à l’incompréhension d’une fille de 14 ans qui se retrouve à faire «caca dans sa culotte». Ensuite, je ne sais pas trop bien pourquoi, je me mis sur le dos. La matière commença alors à s’étaler et je la sentis entre mes jambes et dans le bas de mon dos. C’était gênant et bon en même temps. Bien meilleur que quand je me masturbais avec ma peluche.
Ma mère m’appela pour manger. Catastrophe, je revenais un peu de mon rêve. La dure réalité : j’avais fait caca dans ma culotte, je ne savais que faire. Le dire ou pas? Comment allait-elle réagir ?